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Guy Konopnicki

Je ne sais pas dessiner

…Je suis inapte au dessin. N’ayant que les mots, j’ai vécu  de papier imprimé et j’ai passé ma vie en compagnie de  dessinateurs et d’artistes.  De cette incapacité, j’avais conçu un récit de dérision,  qu’un merveilleux artiste, Tignous, devait illustrer.  Et l’impensable est survenu, le 7 janvier 2015, Tignous  a été assassiné, avec la rédaction de Charlie Hebdo.  Ce crime scellait la fi n d’une fabuleuse aventure, celle  de la dernière génération du papier, qui bousculait les  dogmes et mêlait avec insolence le texte et le dessin,  l’art et la politique.  Le 7 janvier 2015, je suis devenu un survivant, mes  amis sont tombés au combat, comme jadis ceux de  mes parents.  J’essaye d’écrire encore, de restituer l’histoire que j’ai  vécue, avant qu’un tourbillon de mensonges l’emporte.  Je n’ai que des mots, hélas, j’aimerais tant laisser  quelques croquis…

« C’est un livre petit par la taille, mais grand par la portée » Yves Thréard - LE FIGARO « Un livre tout en délicatesse sur la perte, ce qu’elle vous fait, là où elle vous entraîne, là où elle vous laisse aussi avec son petit compendium de tristesse » Laurent Lemire - LIVRES HEBDO « Il faut acheter ce livre et l’offrir aux plus jeunes » Lénaïg Monier - EUROPE 1 « Matin week-end »

14 € / 140 pages

13,5 x 18,5 cm

978-2-48746-842-9

À propos de l'auteur

Guy Konopnicki a passé sa vie à écrire, faute de pouvoir dessiner : des romans, des polars signés Konop, des récits, des essais et des pamphlets. Il a collaboré à divers journaux, traitant de politique, de littérature, de faits divers et de courses hippiques. Il fut aussi Papou dans la Tête sur France-Culture. Il persiste à écrire.

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